Les vétérans des FAC et de la GRC sont encouragés à participer à une étude sur les traumatismes craniocérébraux légers
OTTAWA, ONTARIO, CANADA, October 4, 2023 /EINPresswire.com/ -- Depuis plus de deux décennies, les traumatismes craniocérébral légers (TCCL) sont reconnus comme un problème de santé important chez les vétérans. Au moins un membre des Forces armées canadiennes (FAC) sur 20 a subi un traumatisme cérébral pendant un déploiement, entraînant des symptômes cognitifs qui peuvent nuire à la vie de tous les jours.
Fardous Hosseiny, président et chef de la direction de l’Institut Atlas pour les vétérans et leur famille, a déclaré que de nombreux membres des FAC ont participé à des activités à risque élevé pendant leurs entraînements et d’autres types de déploiements, et qu’en conséquence, ils ont subi des lésions cérébrales. « Un traumatisme peut provenir d’une force appliquée, d’un coup direct à la tête, voire d’une force gravitationnelle sans contact direct, comme la décharge d’une arme près de la tête, la proximité d’explosifs ou des forces g élevées lors de sauts, explique-t-il. Lorsqu’on tient compte de ces facteurs, la probabilité de subir un traumatisme craniocérébral léger est probablement plus élevée qu’on ne le pensait au départ, ce qui souligne la nécessité d’étudier davantage les options de traitement. »
L’Institut Atlas pour les vétérans et leur famille soutient l’Université McMaster dans le cadre d’un essai clinique pilote visant à évaluer la faisabilité, l’acceptabilité et la pertinence de la réadaptation cognitive pour le traitement en mode virtuel des problèmes cognitifs quotidiens auxquels sont confrontés les vétérans atteints d’un TCCL par comparaison à la réadaptation par la pratique établie de l’utilisation du matériel éducatif pour la gestion des symptômes. À ce titre, l’Institut Atlas cherche activement à recruter des vétérans des FAC et de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) qui ont reçu un diagnostic de TCCL ou de commotion cérébrale pour participer à cette étude virtuelle d’une durée de quatre semaines.
Les Dres Lyn Turkstra et Jackie Bosch (chercheuses principales) de l’Université McMaster dirigent l’essai clinique pilote sur la réadaptation axée sur les symptômes des commotions cérébrales chez les vétérans des Forces armées canadiennes et de la Gendarmerie royale du Canada (STAR-C2). L’essai porte le nom d’une intervention stratégique effectuée à distance par des orthophonistes ou des ergothérapeutes qui a pour but d’améliorer les fonctions cognitives quotidiennes des vétérans des FAC et de la GRC qui présentent des symptômes persistants de TCCL.
La Dre Lyn Turkstra a dit que l’objectif de l’étude est de déterminer si l’approche STAR-C2 est plus envisageable, acceptable et appropriée pour le traitement de défis cognitifs quotidiens des vétérans ayant subi un traumatisme craniocérébral léger que la pratique habituelle consistant à fournir du matériel pédagogique pour la gestion des symptômes. Dans l’affirmative, l’étape suivante consistera à mener un essai clinique pour déterminer si l’approche STAR-C2 est plus efficace que la pratique habituelle pour améliorer les fonctions cognitives au quotidien.
La Dre Lyn Turkstra ajoute que, bien que le TCCL soit généralement associé à un bon pronostic de rétablissement, de nombreuses personnes font état de symptômes persistants. « Cette intervention a été mise au point pour aider les vétérans qui éprouvent des difficultés cognitives qui nuisent à leur vie quotidienne, comme de brèves périodes de confusion, des pertes de mémoire, des réactions lentes ou une perte de coordination. »
D’ici la fin de l’étude, l’Institut Atlas espère mieux comprendre si une thérapie individuelle offerte par Zoom pour aider à relever des défis quotidiens en raison d’un TCCL est plus envisageable que le matériel pédagogique habituellement offert aux personnes ayant reçu un diagnostic de TCCL ou de commotion cérébrale.
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Pour de plus amples renseignements, veuillez écrire à l’adresse media-atlas@theroyal.ca
Fardous Hosseiny, président et chef de la direction de l’Institut Atlas pour les vétérans et leur famille, a déclaré que de nombreux membres des FAC ont participé à des activités à risque élevé pendant leurs entraînements et d’autres types de déploiements, et qu’en conséquence, ils ont subi des lésions cérébrales. « Un traumatisme peut provenir d’une force appliquée, d’un coup direct à la tête, voire d’une force gravitationnelle sans contact direct, comme la décharge d’une arme près de la tête, la proximité d’explosifs ou des forces g élevées lors de sauts, explique-t-il. Lorsqu’on tient compte de ces facteurs, la probabilité de subir un traumatisme craniocérébral léger est probablement plus élevée qu’on ne le pensait au départ, ce qui souligne la nécessité d’étudier davantage les options de traitement. »
L’Institut Atlas pour les vétérans et leur famille soutient l’Université McMaster dans le cadre d’un essai clinique pilote visant à évaluer la faisabilité, l’acceptabilité et la pertinence de la réadaptation cognitive pour le traitement en mode virtuel des problèmes cognitifs quotidiens auxquels sont confrontés les vétérans atteints d’un TCCL par comparaison à la réadaptation par la pratique établie de l’utilisation du matériel éducatif pour la gestion des symptômes. À ce titre, l’Institut Atlas cherche activement à recruter des vétérans des FAC et de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) qui ont reçu un diagnostic de TCCL ou de commotion cérébrale pour participer à cette étude virtuelle d’une durée de quatre semaines.
Les Dres Lyn Turkstra et Jackie Bosch (chercheuses principales) de l’Université McMaster dirigent l’essai clinique pilote sur la réadaptation axée sur les symptômes des commotions cérébrales chez les vétérans des Forces armées canadiennes et de la Gendarmerie royale du Canada (STAR-C2). L’essai porte le nom d’une intervention stratégique effectuée à distance par des orthophonistes ou des ergothérapeutes qui a pour but d’améliorer les fonctions cognitives quotidiennes des vétérans des FAC et de la GRC qui présentent des symptômes persistants de TCCL.
La Dre Lyn Turkstra a dit que l’objectif de l’étude est de déterminer si l’approche STAR-C2 est plus envisageable, acceptable et appropriée pour le traitement de défis cognitifs quotidiens des vétérans ayant subi un traumatisme craniocérébral léger que la pratique habituelle consistant à fournir du matériel pédagogique pour la gestion des symptômes. Dans l’affirmative, l’étape suivante consistera à mener un essai clinique pour déterminer si l’approche STAR-C2 est plus efficace que la pratique habituelle pour améliorer les fonctions cognitives au quotidien.
La Dre Lyn Turkstra ajoute que, bien que le TCCL soit généralement associé à un bon pronostic de rétablissement, de nombreuses personnes font état de symptômes persistants. « Cette intervention a été mise au point pour aider les vétérans qui éprouvent des difficultés cognitives qui nuisent à leur vie quotidienne, comme de brèves périodes de confusion, des pertes de mémoire, des réactions lentes ou une perte de coordination. »
D’ici la fin de l’étude, l’Institut Atlas espère mieux comprendre si une thérapie individuelle offerte par Zoom pour aider à relever des défis quotidiens en raison d’un TCCL est plus envisageable que le matériel pédagogique habituellement offert aux personnes ayant reçu un diagnostic de TCCL ou de commotion cérébrale.
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Pour de plus amples renseignements, veuillez écrire à l’adresse media-atlas@theroyal.ca
Joy Pavelich
l’Institut Atlas pour les vétérans et leur famille
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